Dans l'Allemagne d'après-guerre, tout le monde ne peut pas jouir de la liberté. Hans, un homme qui subit des peines de prison répétées alors qu'il continue d'être puni pour ses désirs, vit son passage différemment de son compagnon de cellule récurrent Viktor, un meurtrier condamné à long terme. Nous commençons en 1968, avec Hans qui arrive à nouveau en prison. Viktor, un tatoueur amateur, propose de dissimuler le numéro de camp sur l'avant-bras de Hans. Au fil du temps, les deux hommes vont échanger des moments d'exposition et de besoin. Leur lien est assombri par l'homophobie profondément enracinée de Viktor et le paragraphe 175, qui criminalise l'homosexualité. Malgré tout cela, Hans et Viktor développent un lien improbable. —Frank Liesenborgs